1 juin 2017
La belle au bois dormant
La littérature du XVIIe siècle
est particulièrement friande de morale.
Les textes courts, souvent les contes de fées,
sont ainsi de plus en plus courants,
et leur côté moraliste est spécialement apprécié
surtout quand il est relevé d’une pointe d’ironie.
« On ne perd rien pour attendre »
et rien ne presse quand il s’agit de trouver un époux parfait,
à nos yeux tout du moins.
Cela dit si on évite d’attendre 100 ans, c’est mieux.
La morale de la Belle au bois dormant
est une des plus représentatives
de l’humour discret des Contes de Perrault.
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